Cet amendement, déposé par Franck Menonville, vise à remettre en cause le délai de dix-huit mois permettant de qualifier une rénovation de performante.
Il tend également à supprimer le dispositif définissant une rénovation complète. En effet, la priorité est de permettre l’étalement dans le temps du bouquet de travaux pour que la rénovation soit soutenable financièrement.
Enfin, il tend à prévoir que les actions entreprises au cours des cinq dernières années afin de réaliser un gain énergétique seront prises en compte dans l’étude des six postes de travaux permettant de qualifier une rénovation de performante ou complète.