Il s’agit du dernier amendement sur la qualité de l’air que je défendrai au nom de M. Husson. Celui-ci vise à prévoir une évaluation, tous les deux ans, des moyens mis en œuvre pour atteindre les objectifs en matière de réduction des émissions de particules fines liées au bois et de leur impact sur la qualité de l’air.
Aujourd’hui, une telle évaluation existe, mais elle n’est réalisée que tous les cinq ans, de manière informelle, par les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (Aasqa).