M. Jean Castex, Premier ministre. Plus grave encore est la question de l’abstention. Je tiens à répéter, sans nullement chercher de la sorte à nous dédouaner, qu’il s’agit d’une interpellation collective. On peut toujours se renvoyer la balle, mais je crains que cela n’alimente encore davantage le désintérêt de nos concitoyens. Je vous le dis comme je le pense ! Nous prenons toute notre part de responsabilité.