Monsieur le ministre, vous parlez de provocation et de complaisance, vous évoquez les outils dont on dispose. Pour ma part, je vous rappellerai que le Sénat a fait le choix de la clarté, en adoptant un amendement à ce sujet lors de son examen du projet de loi confortant le respect des principes de la République. C’est votre majorité à l’Assemblée nationale qui a supprimé ce dispositif !
Une nouvelle fois, vous refusez de traiter ce réel problème de société. En cédant devant l’islam radical, vous prenez le risque de voir notre pays se fracturer.