Monsieur le rapporteur général, vous avez pris un exemple chiffré, concernant plusieurs petits-enfants. Je rappelle que, aujourd’hui, l’abattement est de 31 000 euros par enfant.
J’entends, dans le même temps, l’argument du coût de la mesure. Je vous propose donc, en accord avec ma collègue Sylvie Vermeillet, de rectifier nos amendements pour en limiter l’application au 31 décembre 2022, afin qu’ils correspondent véritablement à la période de sortie de crise, qui est compliquée pour un certain nombre de jeunes.