Malheureusement, les informations qui nous parviennent du terrain à propos des écoles FLAM, par exemple d’Israël, du Royaume-Uni ou des États-Unis, où ces réseaux associatifs sont parmi les plus importants, ne reflètent pas les chiffres que vous nous indiquez, monsieur le ministre.
Nous craignons que certaines écoles soient réellement en danger : il existe un véritable risque de fermeture de ces associations FLAM, qui – je le répète – enseignent le français en dehors des horaires habituels.
Au travers de cet amendement, je souhaite à nouveau vous interpeller, monsieur le ministre. Ce n’est pas une question budgétaire, il s’agit de débattre de l’action à mener. Nous sollicitons le Gouvernement, afin que celui-ci prenne conscience du risque de cessation d’activité d’un certain nombre d’associations FLAM de par le monde. Or une école FLAM qui s’éteint, c’est un peu la langue française qui s’éteint…