Une enveloppe de 350 millions d’euros est en effet consacrée à ce volet sur une période de sept ans. Dans le cadre du plan de relance, 200 millions d’euros de crédits sont également alloués en 2021 et 2022 pour soutenir les mobilités actives.
Je partage, bien sûr, la volonté d’engager cette mutation, mais l’octroi de 350 millions d’euros de crédits dès 2021, j’y insiste, me paraît excessif, en tout cas disproportionné par rapport à une priorité qui est déclinée dans les années à venir. Peut-être faudra-t-il prévoir des ajustements dans quelque temps mais, dans l’immédiat, la commission est défavorable à l’amendement.