Je rappelle que la DSIL a été créée, parce que les dotations baissaient. Par ailleurs, elle repose sur une logique d’appels à projets auxquels les collectivités doivent répondre, ce qui est très différent de la DETR.
Certaines communes aimeraient bien mener des projets, mais elles ne peuvent pas financer les 20 % de reste à charge. Cela pose d’ailleurs la question de l’état des finances communales : celles-ci sont à l’os ! Cette situation explique aussi en partie pourquoi les crédits ne sont pas tous utilisés.