Avec notre collègue Joël Labbé, nous sommes un certain nombre à partager l’inquiétude de la filière et à essayer de trouver des solutions.
C’est la raison pour laquelle je sollicite l’avis du Gouvernement. En effet, entre les règles, la liberté de commercer et la protection des ressources de la forêt, on voit bien que le sujet de l’industrie dite de transformation du bois est réel, alors même que notre production brute part en Chine. Sans doute allez-vous nous apporter, monsieur le ministre, des éléments importants sur cette question.