Je suis défavorable à cet amendement, pour deux raisons.
La première est qu’il rate sa cible : l’amendement arrive quinze mois trop tard et est aujourd’hui inopérant pour le stock des PGE déjà signés, soit près de 140 milliards d’euros…
La seconde est que le coût résulte essentiellement de la rémunération de la garantie perçue par l’État. Sans couverture des intérêts, l’équilibre sur lequel le dispositif repose serait menacé.