Dans la mesure où nous venons de voter contre une séance de questions orales une fois par an, cet amendement vise à offrir un moyen terme : les élus départementaux et régionaux auraient à répondre aux questions orales posées par les élus eux-mêmes.
Dans mon assemblée, j’appartiens à l’opposition, et il n’y a jamais de questions. C’est la presse qui prend en charge cet aspect. En effet, l’exécutif est libre d’accepter ou de refuser une question et, en général, c’est un refus. Les règlements intérieurs des assemblées devraient donc prévoir ce dispositif, qui doit être consigné.
Cela dit, madame la rapporteure, madame la ministre, je modifie mon amendement en retirant, à chacun des alinéas, les mots : « et réserve la moitié du temps attribué aux groupes minoritaires ou s’étant déclaré d’opposition ».