Je me situe à la fois dans le camp de ceux qui pensent qu’il faut préserver le loup au sens de la convention de Berne et dans le camp des éleveurs, parce que leurs problèmes doivent être traités correctement.
Je dis simplement que ce que prévoit le texte ne me semble pas offrir les garanties suffisantes pour préserver à la fois l’intérêt des éleveurs et celui du loup. C’est pourquoi nous ne devons pas choisir un camp.
Nous devons faire en sorte, au contraire, que tout le monde soit satisfait, de la meilleure manière possible. Il ne me semble pas que ce soit le cas aujourd’hui. C’est la raison pour laquelle nous demandons la suppression de cet article, ce qui ne signifie pas que nous ne voulons rien faire.