Les procédures d’évaluation et d’autorisation environnementales sont déjà très lourdes et complexes.
Voilà deux ans, par l’ordonnance du 26 janvier 2017, on a réformé ces mécanismes et mis en place une procédure unique d’autorisation environnementale dans laquelle ont été fusionnées de nombreuses procédures, et ce à des fins de rationalisation et, donc, de simplification du travail des porteurs de projets et des pouvoirs publics. Naturellement, les consultations obligatoires ont été limitées dans un même souci de simplification.
Les parcs naturels régionaux jouent un rôle essentiel pour la préservation de l’environnement à travers leurs activités de formation et d’animation du territoire – d’ailleurs, nous avons un partenariat avec eux dans le cadre de l’Agence nationale de la cohésion des territoires. Ils accompagnent ainsi nos territoires en amont. C’est, je crois, beaucoup plus efficace que de multiplier les procédures formelles.
Il n’est donc pas souhaitable de revenir sur les récentes évolutions et l’avis est défavorable.