Si, d’une part, les préfets, et, d’autre part, les présidents d’EPCI et les maires parviennent à élaborer un véritable contrat – pas un contrat de Cahors –, par lequel les deux parties s’entendent, en respectant à la fois les exigences de l’État, la réalité territoriale, sociétale et sociale des communes, cet outil permettra de territorialiser les objectifs et de répondre aux desiderata de notre collègue.
Aussi, je ne voterai pas ces amendements, malgré toute l’affection que nous portons à Philippe Dallier.