Cet amendement, proposé par Colette Mélot, tend à réinstaurer la reprise du droit de préemption urbain par le préfet, tout en supprimant son caractère automatique. Il s’agit de pouvoir cibler les communes concernées et, ainsi, d’améliorer l’action de l’État en la matière et l’efficience de cet outil, notamment lorsqu’il est possible de le déléguer à un EPF ou à un bailleur social.