Des femmes ayant subi un choc terrible, tel qu'un viol, sont parfois tétanisées et ne vont pas jusqu'à un dépôt de plainte. Elles peuvent toutefois essayer de faire constater ce qu'elles ont subi. La conservation de preuves prélevées sur elles leur permettra peut-être de porter plainte plus tard. Dans certains cas, nous observons vraiment ce décalage. Je pense que d'autres sénatrices ont pu être alertées de la même manière sur ces cas.