Merci, monsieur le ministre, pour ce tableau très contrasté de la situation des chrétiens et des minorités. Il était utile que vous rappeliez l'action de la France, dans un contexte particulièrement difficile, d'autant que les principales autorités religieuses, dont le cardinal Raï, lorsque nous les avons reçues ici, autour du président Larcher, nous ont suppliés de ne pas organiser de rapatriement de ces chrétiens. Le premier réflexe est en effet de les accueillir, mais si nous les accueillons, nous risquons de les rayer de la carte. Or le but de toute action vise au contraire à leur permettre de vivre là où sont leurs racines.
Vous avez aussi souligné l'action de la France vis-à-vis des établissements scolaires. Je crois qu'il faut véritablement insister sur ce point.
La parole est au président Retailleau.