que l’on nous demande de voter est le parfait symbole du quinquennat, un quinquennat qui aura été jalonné par les injures et le mépris de l’exécutif envers le peuple français !
Souvenons-nous des qualificatifs employés à son égard : « Gaulois réfractaires », « fainéants », « mafieux », « gens qui ne sont rien », « illettrés », « alcooliques », encore récemment « capricieux » et « défaitistes », et j’en oublie sûrement…
Quand le pays réel a dit stop, quand il est descendu sur les ronds-points vêtu de ce gilet jaune de détresse, l’Élysée a répondu par la plus violente répression qu’un mouvement social ait eue à subir depuis des décennies.
Le peuple français, ne vous en déplaise, monsieur le ministre, est enraciné : il est attaché à son pays, à son histoire, à son identité, à sa liberté.
Incapable de comprendre les Français, le Gouvernement a aussi été incapable de le convaincre de l’efficacité de sa politique sanitaire. Il est vrai qu’il a multiplié les fiascos : investissements dans l’hôpital public sacrifiés, mensonges et échecs lamentables sur les masques – rappelez-vous qu’il suffisait d’éternuer dans son coude pour éviter la contamination ! –, refus dogmatique de fermer les frontières, incapacité à mettre des tests à la disposition de nos concitoyens, changements d’avis permanents… Le Gouvernement s’est donc rabattu sur la seule arme qui lui restait : l’enfermement généralisé, le confinement.
Et pendant que la racaille ethnique continue de faire régner le chaos et la terreur