Quel dommage que les réseaux sociaux n’aient pas existé plus tôt pour défendre contre les dictateurs de la piqûre la liberté de mourir en harmonie avec la nature et ses dons, parmi lesquels nos compagnons de toujours, la variole, la poliomyélite, la peste et le choléra, qui ont permis aux plus grands auteurs, Camus, Giono, Thomas Mann et d’autres d’écrire les chefs-d’œuvre immortels de la littérature de pandémie !
La variole a disparu ; la covid-19, elle, a des chances de survivre grâce à tous les résistants numériques, qui exigent le droit d’attraper le virus et de le combattre, comme les Polonais de 1940 contre les chars soviétiques, à la seule force de leurs poitrines et de leurs mains nues, et avec le seul secours de l’hydroxychloroquine, parfois renforcée par un médicament redécouvert, le Ricard !