Madame la présidente, mesdames, messieurs les sénateurs, je serai très brève, puisque nous nous retrouverons demain.
Bien sûr, je déplore comme vous l’urgence dans laquelle nous sommes tenus d’élaborer ce texte. Croyez bien que j’ai infiniment de respect pour le débat parlementaire. Pour autant, vous l’avez tous rappelé, la crise sanitaire nous impose des revirements ; parfois, c’est même la science qui nous invite à prendre des décisions que nous avions affirmé ne pas vouloir prendre trois ou quatre mois plus tôt.