Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. En effet, les inégalités sont aujourd’hui beaucoup trop nombreuses. Je connais bien le syndrome de Rett, mais – et vous avez raison – il faut aussi prendre en compte d’autres facteurs, comme le vieillissement.
Les limites et contraintes que rencontrent les personnes concernées sont diverses : un changement d’établissement entraînant une rupture dans l’apprentissage ; des difficultés d’accès aux outils pour les familles ; la réticence des soignants à engager la démarche. Tout cela est donc très complexe et constitue autant de freins à lever pour basculer pleinement dans la CAA.
En outre, 78 % des professionnels déplorent le manque de temps pour s’atteler au sujet et 65 % estiment disposer d’une formation insuffisante aux outils.