Je comprends très bien ce que vous dites, madame la ministre, mais cela se traduit par le choix de l’anglais.
Vous pensez bien que je n’ai rien contre cette langue. Toutefois, l’idée de faire figurer sur une seule ligne, ce qui est matériellement possible, vous le savez, la mention « carte d’identité » en anglais, en allemand, en espagnol et en italien aurait été très symbolique de notre ouverture à l’ensemble des pays limitrophes, de notre ouverture européenne.
C’est pourquoi je regrette que cela n’ait pas été possible et j’espère que, par une réflexion approfondie, on y parviendra à l’avenir.