Monsieur le Premier ministre, c’est la sécurité des citoyens qui n’est plus assurée.
Les élections cantonales des 20 et 27 mars suscitent, dans les territoires, de nombreux débats sur ces problèmes. C’est une échéance que vous escamotez !
Les enseignants, les personnels hospitaliers, les gendarmes sont, avec d’autres, les soldats de la République.