Je félicite la rapporteure de son travail sur ce sujet très sensible. Elle l'a traité avec la sagesse et la sensibilité qu'on lui connaît.
Comme cela a été souligné, il ne faut pas oublier l'aspect politique du débat. Le Sénat doit veiller à ne pas tomber dans ce piège...
Pour ma part, je considère qu'il faut faire la part des choses et relativiser la maltraitance animale au regard des violences entre êtres humains. S'il est nécessaire de légiférer, il faut aussi que l'on trouve un équilibre.
Aujourd'hui, une bonne majorité de nos concitoyens veulent encore manger de la viande. Nous devons trouver des solutions acceptables et équilibrées en matière d'abattage.