Monsieur Fischer, les choses sont claires, mais elles le seront d’autant plus quand j’aurai posé la seule question qui vaille : faut-il être pour ou contre votre position ? À question claire, réponse claire : je demande que l’on soit contre, et que l’on adopte l’amendement du Gouvernement ! (M. Guy Fischer proteste.)
Non, monsieur Fischer, il ne faut pas que les SROS soient opposables aux maisons de santé ! J’entends bien que vous traitez ces différentes structures de la même façon. Pardonnez-moi, mais l’exercice libéral repose sur des piliers libéraux. Ainsi, les choses sont claires !