M. le rapporteur général ayant évoqué la loi de finances de 1997, je me permettrai de lui rappeler aussi que, dans les temps anciens, avant la loi Quilès de 1990, en particulier, quand le budget annexe des Postes et télécommunications venait au secours du budget général pour le solder - à l'époque, il s'agissait d'une bonne quinzaine de milliards de francs -, on ne se posait pas trop la question du paiement de la retraite des agents. La haute rentabilité du secteur, celui des télécommunications plus encore d'ailleurs que celui de la poste, suffisait à dégager cette marge de financement qui corrigeait déjà alors le solde budgétaire global et évitait sa détérioration.
Par conséquent je dirai, pour répondre à ce qui m'a été indiqué voilà un instant, qu'il est temps, selon nous, que cesse cette manière de procéder !