Si j’ai bien compris le sens de l’amendement n° II-170 rectifié bis, il s’agit de plafonner la rémunération globale du nouveau président d’EDF, qui a conservé des responsabilités dans l’ancien groupe privé qu’il présidait.
Sauf erreur de ma part, il me semble également que, jusqu’à présent, il siégeait, au titre de ses activités privées, dans cinq conseils d’administration différents, alors que le code de bonne conduite du MEDEF, qui fait loi en la matière, recommande à ses membres de ne pas excéder trois mandats d’administrateur. Ces informations sont de nature à renforcer la démonstration de Jean Arthuis d’une certaine endogamie du capitalisme français.