Les débuts de cette Conférence sur l'avenir de l'Union européenne ne sont pas brillants. Nous avons mis de longs mois pour établir la gouvernance de cette Conférence puis encore de longs mois pour nous accorder sur l'ordre du jour de sa première réunion. J'ai d'ailleurs effectué une mise au point auprès du ministre en charge des affaires européennes à ce sujet.
Cette conférence, je le rappelle, résulte d'une initiative française. Le Gouvernement nous demande de nous engager dans cette initiative mais nous n'en avons pas les moyens. J'y reviendrai dans les jours à venir, à Strasbourg.