Madame la secrétaire d'État, je veux bien vous croire, mais ce texte soulève le problème de l’information des parlementaires que nous sommes. Aujourd’hui, vous nous demandez de vous croire sur parole. Ne pensez-vous pas qu’il serait souhaitable qu’un rapport nous indique quelles sont les associations libres en question, combien d’habitants sont concernés et dans quelles régions ? Aujourd’hui, personne dans cet hémicycle n’est capable de me citer une seule de ces associations libres ! On nous demande donc de légiférer dans l’inconnu. C’est parole contre parole. Ce n’est pas acceptable ! Je maintiens donc l’amendement.