La question de la qualité de l’air est au cœur du plan national santé-environnement. Je rappelle que la mauvaise qualité de l’air est responsable de 30 000 décès prématurés par an, ce qui est considérable.
Telles sont les raisons pour lesquelles j’émets un avis défavorable sur votre amendement, monsieur Richert. Sur la question de la régionalisation, je suivrai l’avis de M. le rapporteur.