J’ai également tendance à penser que plus on précise les choses dans la loi – nombre de personnes présentes, qualités… –, plus le plan sportif local sera difficile à mettre en œuvre.
Aujourd’hui, les universités situées dans le territoire concerné peuvent participer en tant que personnalités qualifiées à l’élaboration de ces plans sportifs.
Laissons l’intelligence collective agir. Je me réjouis que la gouvernance partagée au niveau national, que vous avez votée en 2019, puisse aujourd’hui démarrer dans les territoires et que le sport soit vu comme une solution par d’autres politiques publiques, notamment celles qui concernent l’insertion des étudiants et leur santé.
Pour ces raisons, le Gouvernement est défavorable à cet amendement.