Dans les circonstances présentes, il ne me paraît pas opportun de créer des contraintes pour les autorités publiques.
On parle ici des préfets, mais aussi de la gendarmerie, de la police ou d’autres autorités encore. Ces acteurs sont déjà suffisamment sollicités pour lutter contre les violences dans les stades. Il ne faut pas, me semble-t-il, en rajouter.
L’avis de la commission est donc défavorable sur les cinq amendements.