Les quelques défaillances survenues ont pu être régulées, en effet, par la mutualisation du risque au sein même de l’association.
Que le nouveau dispositif voté depuis plus d’un an – qui est attendu par nombre d’établissements – n’ait encore jamais été activé montre bien que ce dernier ne fonctionne pas, pas plus que votre politique.
La raison est évidente : le taux de 1, 8 % du montant engagé est totalement prohibitif pour ces établissements, qui demandent simplement la garantie de l’État.