Je vous remercie pour vos explications, monsieur le ministre.
Les faits sont têtus : tous les jours, des policiers commettent l’irréparable, en dépit de toutes les mesures qui sont prises. C’est sans doute le signe que celles-ci ne sont pas suffisantes et que ces actes traduisent un mal beaucoup plus profond.
Il faut aussi écouter et accompagner, car la dimension humaine est beaucoup plus importante que les aspects matériels.