Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, de bien vouloir m’envoyer ces éléments de réponse.
Je m’inquiète d’autant plus qu’un article paru aujourd'hui dans Les Échos annonce que des hausses seraient déjà demandées. Si l’entreprise indique qu’elle risque de manquer de financement, aussitôt le cours de ses actions en bourse chutera, mécaniquement, ce qui entraîne des effets pervers.
Est également évoqué le gel des tarifs régulés de l’électricité. Or nos concitoyens sont, comme nous parlementaires, très attachés à ces tarifs, qui permettent précisément d’éviter toutes ces hausses inconsidérées.