L’ensemble des organisations professionnelles – médecins, internes, étudiants – est d’accord sur un point : cette formation est indispensable pour entretenir les compétences de ces maîtres de stage et il revient à l’État d’y affecter les moyens nécessaires. Tous l’ont exprimé publiquement.
Le Gouvernement compte-t-il résoudre la question des déserts médicaux avec un arrêté de ce type, qui dégrade l’attractivité de la fonction de maître de stage et aboutit, dans l’immédiat, à l’annulation d’actions de formation de deux cents d’entre eux ?