On peut l’entendre, et cela ne déstructure en rien la famille, puisque, de toute façon, le nom de l’enfant découle soit du nom de son père, soit de celui de sa mère, soit de l’adjonction du nom de son père et de celui de sa mère, quel que soit l’ordre choisi.
Comme vous le savez, personne ne peut prendre un nom fantaisiste, et, avec ce texte, on reste dans le périmètre des patronymes de la parentèle.