Il faut dire ce que l’on fait et éviter les coups de billard à quatre bandes.
Ce texte n’est pas fortuit. Ce n’est pas le fruit du hasard si deux sénateurs de l’Hérault, mes collègues Hussein Bourgi et Henri Cabanel, se sont exprimés lors de la discussion générale et si un député du même département en a pris l’initiative.
C’est tout simplement parce que nous avons été saisis par des associations, de femmes notamment, dont la représentante de l’une d’entre elles est d’ailleurs présente dans nos tribunes cette après-midi. Nous avons été extrêmement attentifs au message qui nous a été adressé et aux témoignages qui sont les leurs.