Intervention de Jean-Pierre Caffet

Réunion du 16 octobre 2010 à 15h15
Réforme des retraites — Article 25

Photo de Jean-Pierre CaffetJean-Pierre Caffet :

Voilà !

Tel est donc le clivage qui existe entre vous et nous.

Je suis intimement convaincu que ce débat n’est pas clos et qu’il se poursuivra. Monsieur le ministre, la société française ne pourra pas rester sur la logique que vous avez imposée dans ce texte, une logique totalement individuelle. Un jour ou l’autre – très prochainement, je l’espère –, nous pourrons déboucher sur des mécanismes collectifs de reconnaissance de la pénibilité du travail, sur ce que Jean-Pierre Sueur appelait, au début de la discussion de cet article, des « facteurs objectifs ».

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