Quand il y a eu des crises internationales, le Président ne s’est jamais dérobé à ses responsabilités, quel que soit le moment, quel que soit le contexte, électoral ou autre. Il a pris des risques ; c’est ainsi que se fait la politique internationale.
Si l’on vous avait écoutés, notamment si l’on avait écouté votre collègue député, M. Christian Jacob, qui disait il y a quinze jours qu’il fallait dialoguer davantage avec M. Poutine, nous n’aurions rien fait. Le Président de la République a tenté cette chance. Fallait-il faire autrement ? Je ne le crois pas.
Que les choses soient compliquées, nous n’avions aucune naïveté à cet égard, mais considérez ce qui s’est passé de manière plus approfondie. Permettez-moi de prendre l’exemple de l’Europe. La France a été de retour, elle a été efficace.