En ce qui concerne la rémunération, connaissez-vous beaucoup de mandatures qui remettent l’ouvrage sur le métier ? C’est ce que nous avons fait en adoptant la loi Égalim 2, reconnaissant ainsi qu’Égalim 1 n’allait pas assez loin. Ce n’est généralement pas ce que font les politiques, mais nous l’avons fait et nous nous battons, comme l’a rappelé M. le Premier ministre.
Je voudrais enfin profiter de cette dernière séance de questions d’actualité pour remercier l’ensemble du Parlement. J’ai eu beaucoup de plaisir à travailler avec vous.