Peut-être pas, car ce procédé est connu depuis longtemps. Il s'agit ici surtout des maladies neurodégénératives, dont le diagnostic est très difficile à faire et l'évolution très lente. Il faut six ans pour déceler une maladie d'Alzheimer, et des années encore pour apprécier son évolution. Plus on attend, plus ces personnes perdent des chances de bénéficier d'avancées thérapeutiques. Certains sont prêts à s'engager dans cette démarche volontaire, en assumant les risques, tout en faisant avancer la recherche, même si évidemment la démarche doit être encadrée. Ce dispositif existe déjà aux États-Unis.