Sur un certain nombre des questions posées, le bilan est mitigé. Environ 60 % des répondants élus estiment que les moyens dont disposent les services déconcentrés de l'État pour répondre à leurs demandes sont insuffisants. 61 % estiment qu'à l'issue de l'ensemble des plans cités par Agnès Canayer, il est de plus en plus difficile de trouver le bon interlocuteur administratif. 70 % considèrent que la ou les personnes concernées ne restent pas suffisamment longtemps en poste pour être de bons interlocuteurs qui connaissent leur territoire.