Je vous remercie de votre réponse, madame la secrétaire d’État, et j’en prends note.
Je resterai malgré tout très vigilant, n’ayant pas pour habitude de faire confiance aux groupes qui font des profits faramineux et qui se permettent, malgré tout, de licencier du personnel. Je ne comprends pas cette attitude : on double les dividendes des actionnaires, on obtient 8 milliards d’euros de bénéfices sur une année mais on se permet de licencier.
En période de crise et avec un taux de chômage à 18 %, je ne comprends pas qu’on agisse ainsi !