C'est aussi un argument offert à Poutine, qui cherche à dissuader ces pays et d'autres, comme le Monténégro, de se tourner vers l'Europe.
En ce qui concerne l'attitude de la Roumanie, je ne suis pas sûr que, dans une pareille situation, la France aurait réagi avec autant de solidarité et d'efficacité...
Nous aurons l'occasion de reprendre ces débats. Quoi qu'il en soit, nous devons faire une place à ces pays, qui, par leur géographie, font partie intégrante de l'Europe.
La réunion est close à 17 h 20.