Je partage ce qui vient d'être dit : il faut faire attention à la définition d'un perturbateur endocrinien. Si l'on qualifie tout de perturbateur endocrinien, on va devenir phobique !
J'ai moi-même pu travailler cette question pour notre commission il y a cinq ans, à l'occasion du rapport d'information que je lui avais soumis avec cotre collègue Alain Vasselle.
À vouloir trop réglementer, les impacts seront nombreux sur la pharmacopée, mais également sur les entreprises. Certes, certains produits, dont on sait qu'ils sont dangereux, doivent être évités, mais attention aux effets de mode. Je ne suis pas d'accord pour qu'on interdise tout !