Ailleurs qu'en France, secteur privé et secteur public n'ont pas le même rôle, le privé agissant plus dans le domaine du confort et laissant souvent le public se charger des maladies graves.
Je regrette aussi que la Conférence n'ait pas abordé la question financière : le plan de relance sera-t-il une opération unique ou préfigure-t-il le développement de capacités d'investissement et donc de ressources propres ? Si on ne parle pas du nerf de la guerre, on ne parle pas de la guerre.