Nous avons noué des partenariats avec les fédérations de pêche.
Certaines études menées dans le cadre de la Gemapi devront être modifiées. Les agences de l'eau apporteront leur aide en cas de besoin.
Madame Préville, en plus des 56 millions d'euros consacrés chaque année à la protection des milieux aquatiques, quelque 500 millions d'euros sont affectés à la lutte contre les autres formes de pollution, notamment les pollutions chimiques. Les problèmes se règlent plus facilement en amont des rivières.
Nous disposons également d'un programme luttant contre la pollution microplastique.
Il existe de nombreux exemples positifs. À Gif-sur-Yvette, un moulin sur la Mérantaise a été conservé, tout en renaturant le cours d'eau et en limitant le risque d'inondations. En Normandie, sur la Touques, 50 ouvrages ont été équipés de passes à poissons et 50 autres ont été supprimés en 40 ans.