Par ailleurs, une partie des 1, 6 milliard d’euros inscrits au programme « Démonstrateurs et plateformes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte » – le terme « démontrateurs » est, je l’admets, un peu obscur – est affectée à l’ADEME pour lui permettre de développer les énergies renouvelables, et donc les énergies marines.
Madame Goulet, des actions déjà financées vont dans votre sens. Dans ces conditions, il ne semble pas nécessaire de remettre en cause l’ensemble du programme « Nucléaire de demain ».