M. André Ferrand. Monsieur le ministre, je vous suis très reconnaissant de cette réponse qui, vous l’avez compris, est celle que j’attendais. Il est clair que je n’en veux ni au CNES ni à Ariane 6 – et je tiens d’ailleurs vivement à rassurer à cet égard mon ami Christian Gaudin, qui, j’en suis sûr, aurait été à mes côtés pour défendre le développement de l’enseignement supérieur français à l’étranger s’il n’avait farouchement défendu, et il a eu raison, le CNES et Ariane 6 !